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                        • Amèle Debey
                          • 28 oct. 2020
                          • 16 min de lecture

                        «La plupart des procès sont joués d'avance»

                        Bruno Dayez est avocat pénaliste au barreau de Bruxelles depuis 1982. Connu du grand public depuis qu’il a repris la défense de Marc Dutroux, celui qui se définit comme un «philosophe égaré en droit» pratique ce métier de façon atypique et porte sur sa profession un regard sans concession. Après une pause nécessaire, Bruno Dayez a retrouvé le prétoire avec le même détachement teinté d’amertume qui l’avait poussé à le quitter dix ans plus tôt. Déterminé à garder «une vision pertinente de la machine», cet avocat révolté contre un système dont il est le représentant s’épanche dans une lettre adressée à une jeune pénaliste imaginée – ou espérée. En pleine réouverture du débat sur la peine de mort, Bruno Dayez revient sur ce désamour de sa propre profession et sur les raisons qui l’ont poussé à défendre le criminel le plus détesté d’Europe.

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