Dans ce texte lucide et corrosif, Serena Tinari démonte la transformation des médias en relais actifs de la propagande pandémique. À l’heure où l’on célèbre les «fact-checkers» et les «télévirologues», elle rappelle ce que le journalisme aurait dû être: un contre-pouvoir, pas son haut-parleur.
S’il faut courir aux abris à chaque coup de poker de Donald Trump, ces quatre prochaines années vont être longues. Les médias seraient bien inspirés de faire montre d’un peu de retenue… et de recul!