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«Certains scientifiques sont devenus des fanatiques religieux»

Dernière mise à jour : 29 mars

Le grand public a découvert Michael Esfeld l’année dernière, lors de la campagne contre la loi Covid. Philosophe allemand des sciences et de l’esprit, il semble particulièrement bien placé pour commenter la crise, depuis son bureau de l’Université de Lausanne où il enseigne. Comme bien d’autres avant lui, Michael Esfeld paie ses prises de position sur la pandémie. Dernièrement, c’est dans un article de presse qu’on lui reproche d’incarner un débat sur la gestion de cette crise. L’Impertinent a tenu à le rencontrer pour recueillir sa réaction.

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6 882 vues9 commentaires

9 Comments


jean-marc.cerutti
Feb 12, 2022

Bravo !!! A nouveau un excellent article qui démontre que l'on peut trouver d'excellents (excusez-moi d'éviter ce stupide langage inclusif à la mode) journalistes et de non moins excellents scientifiques qui ne sont pas "à la botte".

Bravo au Pr Michael Esfeld pour la clarté de ses propos et n'oublions pas de refuser le soutien aux "grands médias" ce week-end. Ils n'auront que ce qu'ils méritent...

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jbmay
Feb 12, 2022

Enfin une analyse objective... Et comprehensive pour le commun des mortels... Merci 👍

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luc4
Feb 11, 2022

Merci beaucoup à l'Impertinent pour cet excellent interview, et au Dr Michael Esfeld pour avoir osé s'opposer aux covidistes.

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Interview qui apaise; ça fait vraiment du bien de la lire. Merci à l'Impertinent Media. Maintenant, comment faire pour diffuser ce message et ce propos à très très très large échelle? Comment parvenir à percer la carapace de cet étrange mal, ce désastre pour la démocratie et les droits humains, qui nous frappe de façon continue depuis deux ans.

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dominique.c.michel
Feb 11, 2022

En fait c'est même pire que ça car la première décision du Conseil Fédéral fut de nous dire de ne pas aller chez le médecin et aux médecins, de leur interdire d'administrer les cures qui fonctionnent à l'étranger quand elles sont données de façon précoce, soit avant complications. Pour être sûr que les généralistes ne puissent pas prescrire ces cures, le Conseil Fédéral les a fait réquisitionner pour les mettre à disposition exclusives des hôpitaux dans lesquels il n'y avait que les malheureux "cas d'urgence", c'est à dire les malheureux qui, faute de soin - je peux en témoigner car comme eux je n'ai par été soigné, ont développé des complications et en sont morts. Donc là, je dis justice pour les…

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