Figure incontournable de la scène culturelle romande, Marc Atallah a quitté la direction de la Maison d’Ailleurs et rendu les clés des Numerik Games en janvier dernier. En désaccord avec une Municipalité yverdonnoise qui cherche à «contrôler» l’innovation, l’homme à la casquette a préféré retrouver sa liberté, après une cabale médiatique et un audit. Pour la première fois, il revient sur cet épisode mouvementé de sa fructueuse carrière, afin de mieux aller de l'avant.
«Dans ce coin de pays, on n'aime pas les têtes qui dépassent»
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