Ces derniers mois, il était difficile de passer à côté de Claude-Inga Barbey. L’humoriste romande est devenue, bien malgré elle, le symbole d’une liberté d’expression et de ton en érosion, puisque deux de ses sketches lui ont valu d’être clouée au pilori de la bien-pensance et surtout du wokisme. De guerre lasse, la comédienne a décidé de s’éloigner des médias pour se consacrer à la scène. Pour L’Impertinent, elle est revenue sur ce qui l’a poussée à abandonner la partie, avec le franc-parler qui la caractérise.
«Si je n’avais pas démissionné, Le Temps aurait été obligé de me virer»
Dernière mise à jour : 29 mars
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Claude Inga-Barbey est une des rares humoristes qui me font rire. Malheureusement notre époque est celle des tristes sires qui n’aiment pas voir les autres heureux.
Chère Madame,
Il y a bien quarante ans, une personne de mon entourage professionnel me disait : LES CONS NOUS CERNENT !
Elle ne croyait pas si bien dire.
Eh bien, il n'y a qu'une chose à faire face à ces imbéciles décervelés : BRANDIR résolument et fièrement L'ÉTENDARD de LA LIBERTÉ D'EXPRESSION.
SUS À TOUS LES FAUX-CULS ET AUX LAQUAIS DE LA BIEN PENSANCE !
Courage, Madame !
Ne vous laisser pas démonter par ces sbires à LA 'PENSÉE' RACORNIE.
Le carcan néo-puritain et typiquement anglo-saxon du "politiquement correct" nous colonise sous prétexte de décolonisation (c'est le comble), dans une société où l'antiracisme est devenu raciste (voir "Chien blanc" de Romain Gary : en 1970 déjà la chose était évidente aux USA), l'antispécisme antihumaniste, l'antisexisme sexiste (voir l'appellation pas vraiment contrôlée "vieux mâle blanc", à la fois raciste, sexiste et générationiste, c'est un chef-d'oeuvre), l'antifascisme fasciste dans ses méthodes (fondamentalement - relisez Pasolini), l'hygiénisme menaçant la santé, etc., bref un monde en pleine hystérie manichéenne à la recherche désespérée d'un bien et d'un mal enfin clairement délimités, le tout dans la confusion la plus complète! C'est la tour de Babel... La solution? Lisez "La panthère des neiges" de Sylvain Tesson,…
Désormais, il n'est plus exagéré de dire que nous vivons en dictature, y compris en Suisse. Bien sûr, rien à voir (encore, du moins) avec le fascisme le plus extrême tel qu'il a eu cours dans les années 1930-40, avec son lot de camps de concentration et d'extermination de masse, mais dictature il y a.
Quelle est aujourd'hui la valeur de la vie pour l'oligarchie? Au niveau de la biodiversité, elle n'a plus de valeur sauf brevetée; au niveau de l'humain, la ligne rouge a été franchie et elle n'a pas plus de valeur sauf de travail, et encore, de préférence plutôt au niveau "Zola" quand ce n'est pas l'esclavagisme moderne mêlant chantage aux salaires indigents et absence de droits…
Le monde actuel marche complètement sur la tête. Les plus grands scientifiques sont traités de charlatan, leurs connaissances remises en question par des fact-checkers. Luc Montagnier par exemple. Prix Nobel pourtant. Il y a peu de jours, le journal en question traitait Alexandra Henrion Caude et Christian Perronne, qui ont tous deux des CV remarquables, de complotistes…
Il est vrai que depuis deux ans, c’est bien marcher sur la tête qui est demandé à la population par les autorités, cela au niveau mondial. Une seule information scientifique est autorisée, tout traitement pourtant éprouvé et sans danger est nié, et même interdit, mais des autorisations d’urgence pour des traitements qui tuent (Remdesivir) et pour des produits à injecter pour lesquels o…