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Dans quel état est la Grèce?

A l'heure où les regards bien-pensants sont tournés sur l'Ukraine et ses millions d’exilés, on en arrive à oublier les centaines de milliers de migrants et réfugiés accueillis en Grèce et qui y vivotent, tant bien que mal. Défis politiques, économiques et sociaux, la Grèce se bat pour se maintenir à flot. Avant d’entrer dans le vif du sujet, un tour d’horizon s’impose. Entre récit personnel et article informatif, voici le premier volet de notre reportage à Athènes.

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571 vues2 commentaires

2 Comments


Mary Wenker
Mary Wenker
Jun 14, 2022

Je pense que bon nombre de grecs sont racistes, surtout s'agissant de populations africaines... Refus des laisser entrer dans des échoppes, de s'asseoir dans un café. Médication prescrite sans examens. Refus de les embaucher ou alors, on les embauche en leur demandant de travailler 2 mois sans salaires. La crise migratoire a fait circuler des rumeurs de type "les réfugiés reçoivent plus d'argent que nous....". Les informations qui transitent par les médias grecs sont incomplètes, et parfois carrément fausses. Elles desservent le besoin du gouvernement de voir ces populations être rejetées... Les basanées se font contrôler systématiquement dans la rue, et lorsqu'ils brandissent leur passeport grec de réfugiés, se font insulter. On se sensibilise pas la population au vécu de…

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Corinne
Jun 09, 2022

Merci pour cet intéressant reportage sur le terrain! Cependant je ne pense pas que les Grecs soient racistes. L'histoire peut dans une large mesure expliquer leur appréhension concernant l'islam. Il faut savoir que l’Empire ottoman a occupé les Balkans, Grèce comprise, pendant plusieurs siècles. Les peuples soumis devaient payer des impôts extrêmement élevés réservés aux non-musulmans. Ils devaient donner leurs plus beaux garçons aux Ottomans, qui les convertissaient à l’islam et en faisaient des soldats sanguinaires (les fameux "janissaires"), qu’ils envoyaient faire la guerre et mater leurs peuples d’origine si ceux-ci osaient se révolter. Les plus belles filles étaient prises pour les harems. Tant de cruauté institutionnalisée peut nous sembler inconcevable aujourd'hui, mais c'était la réalité et c'était il n'y…

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