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Article rédigé par :

Dr Philippe Saegesser

L’identité d’un être humain n’est pas numérique!

eID
© Canva
«Nous ne sommes pas des êtres humains vivant une expérience spirituelle mais des êtres spirituels vivant une expérience humaine»

Pierre Teilhard de Chardin


Identité électronique ou prison numérique?


Bien que l’ensemble des questions ouvertes jusqu’ici dans le cadre de la votation du 28 septembre prochain sur l’identité numérique soient, à elles seules, non seulement légitimes, mais aussi d’une grande importance, les enjeux de cette votation vont bien au-delà des sujets qui sont habituellement débattus.


Les questions que posent l’e-ID ne sauraient se limiter à opposer le progrès technologique et les commodités supposées que l’e-ID pourraient offrir d’un côté, et les potentielles dérives totalitaires liées à une utilisation abusive et frauduleuse de l’autre. Qu’on le dise ouvertement ou non, l’e-ID intégrée à votre «portable» n’est pas seulement prévue pour remplacer votre carte d’identité, mais pour devenir l’outil exclusif qui vous authentifiera et vous permettra ensuite d’accéder à des services devenus indispensables dans nos vies quotidiennes toujours plus dépendantes de l’outil numérique. Que cela soit pour voyager, pour accéder à vos données, pour vous connecter et/ou effectuer des commandes en ligne, pour des paiements et autres transactions liées à vos comptes bancaires, etc.


Un puissant outil de contrôle et de surveillance

À cela s’ajoute, last but not least, le lien à vos données médicales, potentiellement utilisables pour vérifier, par exemple, la mise à jour de votre statut vaccinal conditionnant certains accès, en cas de nouvelle pandémie. Son utilisation deviendra progressivement un passage obligé, un sésame pour accéder à toutes sortes de fonctionnalités et à toutes vos données que vous risqueriez de perdre si on devait vous en limiter l’usage. Il s’agit donc d’un outil facilitant l’accès à des commodités espérées, mais aussi d’un puissant outil de contrôle et de surveillance.


Cette dépendance de plus en plus marquée à l’égard de l’outil numérique ira également de pair avec une plus grande vulnérabilité, qu’elle soit sociétale et individuelle. Si l’e-ID se généralise comme c’est prévu, il deviendra de plus en plus compliqué, voire impossible, de s’en passer pour survivre dans un monde numérisé à l’extrême. Le piège de la dépendance et du contrôle pourrait bien se refermer sur celui de la soumission en cas de dérive autoritaire.


La suite naturelle est prévisible: aucune chance de survie existentielle sans téléphone portable! L’homme normal sera alors couplé de manière indissociable à un appareil externe en attendant qu’il soit intégré à son enveloppe corporelle. Perspective qui sera sans doute présentée comme le Graal de la liberté et l’ultime commodité de l’homme bionique, alors qu’il ne sera en réalité que la marque de sa servitude et de sa vulnérabilité. Telle est l’angoissante réalité d’un futur proche.


Quand l’acceptation d’un oxymore trouble notre perception de la réalité


Si les usurpations d’identité, le vol de données personnelles et confidentielles, la surveillance inquisitrice et le risque de contrôle social sont des dangers concrets, le couplage des termes «identité et numérique» en une seule expression marque insidieusement un changement dans la pensée. Un glissement sémantique qui crée une brèche dans ce que l’on conçoit de l’identité. Cette nouvelle assimilation laisse croire que l’outil numérique aurait les capacités de donner de vous une représentation numérisée. Elle est pourtant loin de la vraie identité d’une personne humaine, de sa singularité, de sa diversité et de la complexité de ce qui la constitue.


Si votre carte d’identité vous relie encore à une certaine réalité via votre portrait photographique ou votre taille et – il n’y a encore pas si longtemps – à la couleur de vos yeux ou à votre genre, la numérisation de notre identité pourrait bien consacrer sa dématérialisation.


Les termes d’«identité électronique ou numérique» et d’«intelligence artificielle» ont été adoptés dans le langage courant. Bien qu’aujourd’hui familières, ces expressions commencent par une usurpation sémantique, à l’instar de l’oxymore originel et caricatural de «réalité virtuelle». Au terme de ce processus, il reviendra à considérer que l’intelligence et/ou l’identité, ultimement la réalité elle-même, puissent être le produit d’un outil numérique davantage qu’il ne résulte d’une perception reliée à nos sens. L’identité résulte d’une combinaison complexe, multiforme, unique, bien réelle, propre à chaque être humain.


L’homme a déserté cet espace d’humanité

Accepter l’appariement «identité» et «numérique», c’est aussi accepter une régression de tout ce qui constitue notre part d’humanité, de ce que comprend notre communauté humaine de diversité, de richesse qui, selon nos capacités propres, nos qualités spécifiques nous donnent l’occasion, en empruntant des chemins variés, de faire preuve d’intelligence. C’est-à-dire de rendre hommage et de protéger ce que nous pouvons considérer comme sacré: la vie, l’enfance, la nature. Telle est ultimement ce qu’on pourrait appeler intelligence: le discernement de savoir comment défendre collectivement ces valeurs cardinales. Aucun ordinateur, aucun logiciel ne pourra remplacer à la fois cette diversité et cette richesse commune qui nous rassemblent.


Je reprends ici le titre de l’allocution prémonitoire de François Jacob, cofondateur de la biologie moléculaire, prix Nobel de physiologie et de médecine. Ce discours, il y a déjà 60 ans, m’avait marqué. Il l'intitula: «Mon dissemblable, mon frère!». Il faisait ainsi liaison entre génétique et ADN, entre ce que nous avons en commun et ce qui nous distingue. Cette dualité qui semble en apparence paradoxale. Si l’outil numérique peut révéler des capacités que nous n’osions pas imaginer il y a peu, sa puissance présente aussi une menace technocratique de plus en plus sophistiquée et performante. De plus en plus complexe à maîtriser, qui nous éloigne toujours plus de la partie intangible de notre humanité.


L’e-ID et l’IA, deux outils complémentaires au service d’une même transformation


Si, sur bien des points et dans des secteurs différents, les «performances» de l’outil numérique supplantent les capacités de l’homme, elles ne sauraient intégrer sa dimension spirituelle. Dans un monde sans valeur autre que celle du profit, ou de boussole autre la rationalité pure, intégrer l’e-ID, qu’accompagne inévitablement le développement conjoint de l’intelligence artificielle (IA), c’est prendre le risque d’une évolution, voire d’une révolution numérique dans laquelle l’outil pourrait progressivement remplacer l’utilisateur.


Si des millions de personnes racontent déjà leurs angoisses à un chatbot, ce n’est pas parce que la machine est meilleure que l’homme, c’est parce que l’homme a déserté cet espace d’humanité.

Si, dans le cursus de formation en médecine, les premières rencontres avec un patient s’effectuent avec des patients simulés, joués par des acteurs professionnels, ce n’est pas parce que les acteurs savent mieux représenter la maladie, c’est parce que la médecine a relégué au second plan l’examen du patient, la complexité de la psychologie humaine et interhumaine, et les signes que l’on doit rechercher de la maladie. Si certains médecins tirent la sonnette d’alarme et dénoncent une dérive inquiétante de contrôles renforcés et de surveillance algorithmique, c'est parce qu’on a délibérément laissé infiltrer l’exercice de la médecine humaine et la science en la subordonnant à des protocoles et des procédures jugées comme étant la seule bonne pratique.


Soigner ne se résume pas à traiter une pathologie ou à réparer un organe

Si la médecine se «déshumanise» ce n’est pas parce que l’outil numérique prend toujours plus d’espace, c’est parce qu’on a voulu considérer que les maladies étaient avant tout des pathologies à traiter avant d’être des patients à soigner. Une médecine désincarnée, standardisée, protocolée, contrôlée, où la pratique et la responsabilité médicales se placent sur le plan de la conformité à des normes, plutôt que guidées par une relation de confiance et par un engagement personnel de celui qui offre ses services.


En médecine plus qu’ailleurs, on sait bien que soigner ne se résume pas à traiter une pathologie ou à réparer un organe. Il s'agit d'accompagner un être humain, dans toute la complexité qui lui est propre, qui fait sa singularité et qui constitue justement son identité. C’est ce qui fait toute la difficulté, mais aussi toute la grandeur et l’intérêt d’une médecine exercée comme un art, plutôt que comme un métier qui fournit des prestations.


J’ai toujours en mémoire cette situation d’une patiente démente et agressive que nous avions pris en charge en urgence lors d’une journée surchargée, pensant davantage à l’opération que nous devions mener à bien sans délais avant que d’autres, en attente, ne s’enchainent, plutôt qu’à la personne elle-même. Il a fallu faire un arrêt sur image en demandant à tous d’imaginer que cette patiente pouvait être notre mère pour que nous prenions alors la peine de prendre en considération sa dimension humaine, avec sa dignité et les égards dus à sa condition. Nous avions fait alors le travail d’humanité que nous ne devrions jamais quitter.


L’e-ID et l’IA s’intègrent à un projet global dans lequel, progressivement, notre part d’humanité disparait au profit d’une vision technocratique et matérialiste. Nous sommes sans doute à la croisée de chemins divergent. L’orientation biotechnologie réductrice nous oblige à revenir sur la question de ce que nous considérons comme le progrès et sa finalité.


Sommes-nous plus heureux, plus solidaires, plus tolérants depuis que nous disposons des outils numériques? Jusqu’où pouvons-nous aller sans perdre notre âme et risquer de devenir des esclaves de ces outils devenus réducteurs, invasifs et contraignants? Telles sont les questions et les choix fondamentaux sous-jacents auxquels cette votation nous invite! Parfois, dire NON nous libère!


Quand les mensonges deviennent des vérités


La campagne qui précède la votation sur l’e-ID est une nouvelle fois dominée par des promesses qui ont fait la preuve de leur efficacité pour convaincre les plus sceptiques. Elles rappellent au passage les qualificatifs utilisés pour décrire, lors d’une crise récente, le principal moyen permettant d’en sortir. Lequel fut (bis repetita placent), prétendument «facultatif, sûr, efficace et gratuit». Quand bien même on nous le rappelle toujours et encore officiellement, de nombreuses publications et révélations prouvent le contraire. Nous savons aujourd’hui qu’aucune de ces caractéristiques ne convenait aux injections qui nous ont été «recommandées». Le libre consentement s’exerça sous la contrainte.


La prétendue sécurité s’affirme malgré davantage d’effets secondaires pour un produit en trois ans qu’en trente ans avec tous les autres produits dits de la même famille. L’efficacité toute relative n’inclut pas la transmission et la gratuité eu un coût collectif de plusieurs milliards. Pour le numérique, gageons qu’il en sera de même. Le facultatif deviendra tôt ou tard obligatoire, la sécurité est démentie tous les jours par des dizaines de vols de données et autres cyberattaques, l’efficacité est contredite par des bugs récurrents et la gratuité aura un coût aux plus grands profits, respectivement de BigPharma et des GAFAM.


Il semble donc bien que notre gouvernement soit de plus en plus enclin à utiliser la méthode éprouvée qui consiste à affirmer des choses contestables, voire inexactes, tant et tant de fois répétées avec le soutien des médias dominants, responsables d’un état d’hypnose collective transformant les mensonges en vérité.

... et lorsque la lumière est trop forte, le mieux est de fermer les yeux!


Face au déni, c'est parfois par les questionnements qui interpellent que les esprits finissent par devenir accessibles à des vérités qui dérangent plutôt qu’à des mensonges qui arrangent. Je livre donc quelques indicateurs sanitaires qui interrogent les irréductibles, convaincus que nos autorités tiennent un discours d’honnêteté intellectuelle et de vérité en œuvrant avec efficacité dans l’intérêt et pour la santé de la population:



Face à ces indicateurs macroscopiques, peut-on encore parler de gestion efficace? À ce jour, malgré l’inquiétante augmentation des cancers agressifs chez les jeunes et le considérable recul de la natalité, aucune réflexion ni remise en question officielle ne vient perturber ni même questionner l’autosuffisance affichées, en grand format, par nos autorités. Sont-elles vraiment concernées par la santé? On peut en douter lorsque l’on ajoute à ces chiffres le silence assourdissant de l’OMS et l’impuissance de l’ONU face à l’impact CATASTROPHIQUE sur la santé des populations et l’écologie, des génocides et des guerres.


L’e-ID s’inscrit dans un projet global de santé dans lequel l’OMS et le WEF sont parties prenantes


L’e-ID s’inscrit en droite ligne du plan mondialiste dont le déploiement a été publiquement et récemment annoncé par Larry Fink, président de Blackrock et nouveau Coprésident du WEF. Le choix du PDG d’une entreprise de gestion d’actifs estimée à 8500 milliards de dollars, ardent défenseur d’une numérisation «universelle», n’a rien d’anodin. L’e-ID représentera l’outil idéal pour faciliter l’introduction d’un nouveau pass sanitaire après que l’OMS, par la voix de son Directeur général, aura décrété une urgence sanitaire de portée internationale sans qu’il soit néanmoins nécessaire, comme cela a été le cas avec le SARS-COV-2, de fonder cette alerte sur le critère de virulence et de mortalité, curieusement abandonné peu avant le Covid.


Le prédécesseur de Larry Fink avait déjà annoncé la quatrième révolution industrielle, consacrant «la fusion du physique, du digital et du biologique» à l’origine de laquelle l’étape de l’identité numérique est prévue de jouer un rôle clé. Tel un agenda dûment planifié, nous arrivons donc progressivement aussi «rapidement que possible et aussi lentement que nécessaire», à la fusion de l’homme et de la machine. La déshumanisation est en marche. Dans ce contexte, cette phrase attribuée à A. Malraux a valeur de prémonition:


«Le 21ᵉ siècle sera spirituel ou ne sera pas!»

Yuval Harari, conseiller et maître à penser du Forum économique mondial, vante les mérites d’une l'IA qui remplacerait les médecins. Il ne se limite pas à prédire «de meilleurs soins de santé», il pose les bases d'un deal dystopique: abandonnez votre vie privée et les outils de la bio-technologie-informatisée vous garantiront la santé. De même qu’avec l’e-ID, les arguments qu’il utilise prennent appuis sur le fantasme de pouvoir se prémunir de tous les dangers: imaginez une IA capable de déceler le cancer à un stade précoce, de surveiller vos signes vitaux ou de recourir à un «médecin» H24 7/7. À y regarder de plus près, ce qui est préconisé, c'est:


  • vos organismes sont nos données: progressivement, l’IA ne se contentera pas d'apporter un soutien aux médecins; elle remplacera son jugement et son analyse par un contrôle algorithmique, alimenté par vos données génétiques, biométriques et votre historique médical. Lorsque des entreprises comme Apple, Google ou IBM auront obtenu vos données biologiques, il deviendra compliqué de garder la maîtrise des décisions pour votre propre santé.

  • surveillance mondiale par le consentement: si Harari est convaincu que l’introduction d’une e-ID et d’une IA qui vous promettraient la sécurité dans la «santé» en échange d’une atteinte à votre vie privée, les gens «choisiront leur santé». Cette approche représente une coercition camouflée en opportunité. Accepter une surveillance constante pour votre «santé» légitimise un système de surveillance intrusif.

  • la fin de l'autonomie humaine: si une IA impose des décisions médicales, qui programme ses priorités? Sera-t-elle à votre service? Servira-t-elle les intérêts des gouvernements, des assureurs ou de BigPharma?

  • la vision de Harari ne donne aucun pouvoir aux patients; elle les transforme en données dans un vaste data center médical.

  • le véritable objectif du WEF: conditionner les masses à accepter le suivi biométrique intégral comme un «progrès». Ensuite viendra le changement climatique ou la «cohésion sociale» pour justifier d’intrusions similaires.


Comme avec la crise Covid, la santé n’est qu’une porte d’entrée vers un système de contrôle avec l’alibi du bien et de la santé de la population. L'«utopie sanitaire» du WEF et de l’OMS dépend d’un choix présenté comme celui de la vie privée et de la liberté d’une part, ou de la santé et de la dépendance de l’autre.


Si la place de plus en plus prégnante du numérique dans nos vies est bien la question fondamentale, celle du choix auquel nous sommes invités le 28 septembre dépend également du positionnement de ceux qui nous gouvernement et de la confiance que nous pouvons (encore) leur accorder. Celle-ci dépend, entre-autre, de la clarté du message, de l’honnêteté dont ils ont fait la preuve jusqu’ici, de la transparence qu’ils ont démontrée et, pour de nombreux Suisses, du respect de notre Constitution.


L’e-ID au service d’un totalitarisme sanitaire international?


Plus près de nous, la révision de la loi sur les épidémies (RLeP) vient confirmer les démarches peu respectueuses de ceux qui nous gouvernent à l’égard du peuple souverain. Rédigée sans qu’aucune étude critique indépendante sur la gestion de la crise Covid n’ait été réalisée en amont, malgré les demandes réitérées de plusieurs groupements, associations et personnalités politiques. Présentée comme une amélioration de la LeP, sa révision n’est en réalité qu’une consolidation de l’arsenal légal à but coercitif et répressif déjà contenu dans la LeP. La pseudo-consultation qui en a découlé pour la forme auprès de personnalités déjà acquises – «par défaut» – au narratif officiel puisqu'elles étaient déjà impliquées dans la gestion de la crise, a fini par être validé par un plébiscite quasi soviétique.


Cette démarche de révision a, dans la réalité, comme objectif de placer la conformité de la loi Suisse avec l’accord sur les pandémies et les amendements du règlement sanitaire international de l’OMS récemment négocié dans l’opacité totale, puis signé en catimini. Ce règlement sanitaire international place l’OMS, financé principalement par des entités et fondations privées ayant des intérêts dans la promotion des produits qu’elles mettent sur le marché, en position dominante par rapport à l’autonomie et la souveraineté des pays signataires en matière sanitaire.


Alors que l’OMS se targue de défendre la santé dans le monde, elle est prioritairement mobilisée pour la promotion des vaccins face au risque sanitaire épidémique alors que beaucoup d’autres mesures simples à l’impact majeur sont occultées et que la problématique de santé dans le monde reste les questions d’hygiène publique, d’assainissement des eaux usées et d’accès à l’eau potable. C’est particulièrement clair lorsqu’on sait que la moitié des lits d’hôpitaux dans le monde sont occupés par des personnes atteintes par des maladies liées à l’eau; et je ne parle pas de l’absence de positionnement de cette structure face aux dégâts humains et écologiques générés par les guerres et les génocides en cours, qui ne sont rien d’autre que des massacres de population innocente et en bonne santé. Ce silence est bien un aveu implicite. L’OMS ne s’occupe pas de santé, mais de maladies.

Compte tenu de ce qui précède, on peut dire que les enjeux de la votation sur l’e-ID dépassent le cadre de l’outil lui-même.


Dire NON à l’e-ID, c'est dire NON à une ingérence dans nos vies, c’est dire NON à une évolution technocratique de la médecine, dire NON aux manipulations grossières de l’information dont la population a été victime, c’est dire NON à l’industrie du profit à l’alibi sanitaire, c’est dire NON à l’ingérence d’organisation supranationales tentaculaires. C’est affirmer la part humaine et singulière de chacun d’entre nous pour défendre, à l’avenir, ce que nous avons de plus sacré face aux menaces sur nos libertés et sur notre souveraineté, face à la puissance des outils numériques entre des mains mal intentionnées. Enfin, c’est faire la preuve de notre volonté de préserver la paix et le respect des principes d’autonomie, d’indépendance et de souveraineté, qu’ils soient individuels ou collectifs.

1 commentaire


beysards
il y a 4 jours

Je crains que quelle que soit la volonté des citoyens, les dés ne soient déjà pipés. Ceux qui décident ont déjà décidé et ce sera l'identité numérique. Et je vous rejoins totalement : les enjeux sont énormes. La propagande aussi. Je souhaite cependant garder espoir et glisserai un grand NON dans l'enveloppe.

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