Partout dans le monde, des mouvements citoyens se forment pour dénoncer un traitement antidémocratique de la crise Covid-19. En Europe, des décisions liberticides ont été prises sans concertation avec les divers partis d’opposition et encore moins avec le peuple. En Suisse, où l’état d’urgence a permis au Conseil fédéral de s’octroyer tous les pouvoirs, les mouvements de contestation sont à l’image de la politique: organisés, structurés et bénéficiant d’une portée populaire importante, qui peut s’avérer déterminante. Contre quoi se battent ces conglomérats citoyens? Avons-nous réellement sombré dans le totalitarisme?
Avons-nous basculé dans une dictature sanitaire?
Dernière mise à jour : 29 mars
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Mme Debey pose la question de savoir si nous en sommes toujours au même point après une année de Covid-19 en nous affolant avec les mutations du virus d’origine.
La situation n’est pas la même puisqu’il y a effectivement ces mutations virales que les scientifiques décryptent quotidiennement (elles ont atteint le nombre de 3 000), ce qui met en lumière le travail considérable entrepris dans tous les coins de la planète tant la coopération internationale est brillante et féconde durant cette pandémie.
Non, « nous ne faisons pas toujours les mêmes choses », les acquis dans la connaissance du virus, de son mode de propagation, de sa contagiosité envers les différentes strates de la population et autres paramètres sont partagés……
« La connaissance des mots conduit à la connaissance des choses »
Platon
Totalitarisme, totalitarisme sanitaire, décisions liberticides, désinformation, mesures attentatoires à nos libertés, dogme sanitaire, peut-on imaginer pire atteinte à notre liberté de penser ? réduction de la liberté d’expression, dogme officiel…
Pris séparément dans l’espace du texte, ces mots ne sont pas de nature à engendrer un sentiment outrancier de crainte. Dans un environnement rendu par principe anxiogène en période pandémique, ils secrètent, à mon sens, le doute du pire de ce que nous réserverait l’avenir.
Le Pr D. Raoult a commis un excellent livre dont je plagie sans honte le titre pour continuer mon propos : « Arrêtons d’avoir peur ! » (Eds Michel Lafon, avril 2016).
Toute argumentation avec les adorateurs des mesures liberticides semble malheureusement inutile, car les positions de chacun ne se situent visiblement pas sur un plan rationnel.
Nous ne pouvons que constater que le monde est simplement divisé entre ceux qui considèrent que la vie se résume à essayer de ne pas mourir et les autres pour qui la vie représente davantage que cela.
On trouve dans le premier camp de l'extrémisme dans l'extrémisme pour reprendre une formule de notre grand timonier de la covide.
Un reportage à la fois éclairant et effrayant sur l'idéologie inhumaine de ces spécialistes auto-proclamés de l'éradication du coronavirus : https://unherd.com/2021/02/inside-the-zero-covid-campaign/
Avec une excellente synthèse de la situation et du danger auquel nous faisons face, par la…
@ m.henry
Lecture rapide (je ne m'en méfie pas assez !) qui ne m'a pas permis de tout bien saisir, je préfère prendre un peu de temps pour vous proposer mon opinion sur ce texte très fouillé.
Quand même, ce qui me défrise un peu c'est que nous soyons tous des enfants et que les dirigeants sont des psychopathes !
Par contre, j'ai très vite pensé à une citation de Joëlle Zask, philosophe française spécialiste de philosophie politique et pionnière de démocratie participative :
« Imaginez la vie démocratique comme un concert. Personne ne joue exactement la même musique, on joue ensemble, de façon plus ou moins harmonieuse ».