Amèle Debey

1 déc. 202113 Min

«Nous sommes en train de violer toutes les règles d’éthique médicale»

Mis à jour : mars 29

Reiner Fuellmich est un avocat allemand basé en Californie. Depuis les années 90, il œuvre dans la défense des consommateurs, notamment contre le géant Deutsche Bank, pour lequel il a travaillé. Spécialisé dans le droit bancaire et boursier, le droit international privé, mais aussi le droit médical, ce maître de conférences a fait de la crise Covid son nouveau cheval de bataille. Adulé par les uns, honni par les autres, Reiner Fuellmich est actif au sein du Corona Investigative Comittee, qui s'est donné pour mission de recueillir les informations, de les analyser en vue d'intenter des actions judiciaires contre ceux qui sont, à ses yeux, les responsables de la situation que nous vivons depuis deux ans.

© DR


 
Amèle Debey, pour L'Impertinent: A quel moment vous êtes-vous dit que quelque chose clochait dans la façon dont cette pandémie était gérée?


 
Reiner Fuellmich: Plus ou moins dès le départ. Ma femme et moi étions dans notre ranch du nord de la Californie, lorsque nos proches allemands nous ont appelés, les uns après les autres, pour nous raconter qu’ils étaient confinés. Pas seulement en Allemagne, mais partout en Europe.

Je me suis alors demandé pourquoi ils mettaient la démocratie à l’arrêt à l’unisson, car cela n’avait jamais été fait auparavant. C’est une première historique. Ma femme voulait rentrer en Allemagne, mais il me paraissait plus sûr de rester. Mon ami Wolfgang Wodarg (médecin et ancien politicien allemand, ndlr) m’a expliqué qu’on avait affaire à quelque chose qui lui rappelait la grippe porcine. Il m’a demandé de revenir. Me sentant plus en sécurité aux Etats-Unis et n’ayant aucune confiance dans le système judiciaire allemand, je lui ai dit que je reviendrais uniquement si j’avais quelqu’un avec qui collaborer. Il m’a donc mis en contact avec Vivianne Fisher, qui est à la source du lancement de notre Corona Investigative Comittee. Nous avons donc pris nos chiens et sommes rentrés en Allemagne, sans savoir quand nous pourrions revenir.


 
C’est à ce moment-là que j’ai commencé à m’interroger. Car un confinement, c’est du jamais vu! Bien sûr qu’il y a un virus là dehors, qu’il soit naturel, ou la conséquence d’une manipulation humaine, ou un peu des deux, mais tout le monde est désormais d’accord pour dire qu’il n’est pas plus dangereux qu’une grosse grippe. Y compris l’OMS. J’ai donc compris qu’il n’y avait rien de sanitaire dans cette affaire, mais qu’il s’agissait de quelque chose de diabolique.


 
Vous trouvez donc que les Etats-Unis ont mieux géré la crise que l’Europe?


 
Il me semble que la pression mise sur l’Europe était plus importante depuis le début. Une des raisons à laquelle je pense, c’est que les Américains sont armés. Pas tout le monde, mais il y a plus d’armes dans la population qu’on ne pourrait en utiliser. Donc on fait plus attention avant de risquer des soulèvements populaires. Ce qui risque de se passer en Europe. Je ne pense cependant pas que cela ira aussi loin, car les gens sont de plus en plus nombreux à comprendre ce qu’il se passe. Même les vaccinés, même ceux en phase avec les informations relayées dans les médias mainstream réalisent à quel point ce qui se passe est dingue.


 
Une autre raison pour laquelle l’Europe a été soumise a davantage de pressions, c’est probablement – comme l’expliquent Catherine Austin Fitts et Leslie Manookian, toutes deux d’anciennes banquières d’affaires – que l’Europe est ruinée. Ils ont pillé les Etats membres de l’Union européenne au travers de cette même Union pour des dizaines d’années. Les gens commencent à comprendre que leurs impôts servent à remplir les poches des super riches et que même les fonds de pension sont complètement vides. Toute cette affaire n’a donc rien à voir avec la santé.


 
Quand vous dites que c’est diabolique, qu’entendez-vous par là?


 
Au début, je pensais qu’il ne s’agissait que d’argent. Parce qu’en tant qu’avocat, je suis entraîné à suivre l’argent (Follow the money, ndlr). Si vous voulez savoir qui tire les ficelles, regardez où va l’argent. Mais ce n’est pas le but en soi. Les gens qui sont derrière tout ça – probablement parmi les plus riches du monde, mais pas seulement, puisqu’il sont aussi psychopathes et sociopathes – sont certainement inquiets de voir que nous commençons à comprendre ce qu’ils font aux populations. C’est ce qui les fait paniquer et agir de façon aussi irrationnelle: nous sommes sur le point de changer la donne. La situation va sûrement empirer un peu, mais la roue finira par tourner. Et ce n’est plus une question d’années, mais de mois.


 
Que se passe-t-il vraiment, selon vous?


 
Comme je le disais, il ne s’agit pas d’argent, mais ils s’en servent, depuis des années pour payer les marionnettes qu’ils infiltrent à tous les niveaux de notre société. Dans mon cabinet, nous étions 17 avocats, plus les assistants juridiques et l’équipe technique. Nous observions ce qu’il se passait à la Cour allemande avec beaucoup de scepticisme. Nous avons toujours représenté des consommateurs contre de grosses corporations. L’une des plus criminelles étant la Deutsche Bank. Et j’en sais quelque chose, puisque j’ai travaillé pour eux, à Tokyo, avant de réaliser qu’ils étaient prêts à tout pour de l’argent, peu importe que des gens soient tués.

«Nous n’avions aucune idée de l’étendue de la corruption»


 
Pour mes collaborateurs et moi-même, il était donc évident, lorsque nous allions au tribunal avec eux, que la magistrature est sous le contrôle de ces corporations, ou tellement en pâmoison devant elles que l’on ose plus faire appliquer la loi. Nous savions donc comment cela fonctionnait, mais ni mes collègues ni moi-même n’avions idée de l’étendue de la corruption.


 
Nous savions que certains juges recevaient des pots-de-vin des banques, mais nous réalisons désormais l’existence de tellement de marionnettes à tous les niveaux: politique, médias, système judiciaire. L’argent est donc utilisé pour ça.


 
Mais quel serait l’intérêt de ces gens, quel serait leur but?


 
C’est public, vous pouvez lire à ce propos, puisque Klaus Schwab l’explique dans son livre, Great Reset. Bill Gates aussi, dans plusieurs de ses interviews. Il suffit également de s’intéresser à sa famille, puisque son père était un fervent défenseur de l’eugénisme. Ils pensent tous qu’il y a trop de gens sur la planète, ils plaident pour le contrôle de la population.


 
Les vaccins ne sont pas utiles, puisque la seule pandémie qui existe est une pandémie de tests PCR. Ils ne sont pas sûrs non plus, mais extrêmement dangereux. Et ils ne sont pas efficaces, puisque lorsqu’on parle de percées de la maladie, on parle de facto de l’inefficacité de ces vaccins.


 
Est-ce que vous avez une formation dans un domaine scientifique, des connaissances particulières ou quelque chose qui pourrait légitimer tout ce que vous avancez à ce propos?


 
Lorsque nous avons fondé notre Corona Investigative Comittee à Berlin, en juillet 2020, j’ai eu pour idée de tenir une conférence sur deux week-ends afin de pouvoir rencontrer et obtenir des réponses d’experts en la matière. Des réponses à des questions que les politiciens et les médias mainstream refusent de poser. La première: à quel point ce virus est-il dangereux? Les chiffres nous indiquent qu’il n’est pas plus dangereux que la grippe. Il peut tuer, bien sûr, mais la grippe aussi.


 
La seconde: qu’en est-il des tests PCR? Ils ont été inventés par un homme brillant, amusant et plein d’esprit nommé Kary Mullis, qui a obtenu un Prix Nobel pour cela. Puis ils ont été détournés par un Allemand qui n’est ni un véritable docteur, ni un véritable professeur, appelé Christian Drosten (le Monsieur Corona allemand, ndlr). C’est ainsi qu’ils ont créé des cas. Ils avaient besoin d’une pandémie, d’une crise de santé publique internationale pour utiliser ce qu’ils essaient de faire passer pour des vaccins, mais qui sont des expérimentations géniques.
 
Parce que, légalement, on ne peut utiliser des médicaments non-testés sur les gens qu’en cas d’urgence sanitaire. Et pour cela, il faut des cas.


 
En janvier 2020, il n’y en avait pas assez en Chine, c’est donc Drosten qui s’est chargé de détourner les tests PCR et leur utilisation, cette brillante invention de Kary Mullis, pour leur faire dire tout et n’importe quoi. Comment je le sais? Parce qu’un test PCR n’est pas capable de détecter une infection, il ne peut pas faire la différence entre de la matière morte ou vivante. Lorsqu’ils sont positifs, cela peut très bien être parce qu’ils ont détecté des fragments d’anticorps luttant contre un rhume ou une grippe. De plus, la façon dont nous avons utilisé ces tests ne pouvait que donner de faux positifs, à cause des cycles d’amplification (CA) qui font que, au-dessus de 24 CA, on ne voit plus rien de scientifiquement probant. L’ancien vice-président de Pfizer, Michael Yeadon, nous a expliqué qu’à partir de 35 CA on obtient au minimum 97% de faux positifs. Le test de Drosten, que tous les autres pays ont copié, démarre à 45 cycles. C’est ainsi que l’on crée une pandémie.


A (re)lire: Covid-19, une débâcle évitable?


Pour revenir à votre combat juridique, où en sont les différentes actions que vous avez lancées?


 
Ce que j’ai compris très vite, c’est qu’on ne peut pas faire confiance au système judiciaire allemand. Notre système de formation juridique est vraiment mauvais. Il est terrible. Les juges, les procureurs, les juristes sont entraînés à être obéissants. A être alignés avec le gouvernement, avec le système. S’ils ne le sont pas, ils signent la fin de leur carrière. Je me suis donc dit qu’il me fallait travailler avec des collègues anglo-saxons, en particulier américains. Je suis également membre du barreau californien, donc je sais de quoi je parle.


 
Il y a une class action au Canada, lancée par Michael Swinwood, qui a été rejetée sans audience et qui fait l’objet d’un appel. Elle devrait donc être traitée fin mars 2022. Une autre série d’affaires a été lancée par mon équipe en Allemagne, contre Drosten. Puisqu’il est responsable du confinement, basé uniquement sur les résultats de ses tests PCR. On l’attaque au nom du plus grand Karaoké-bar d’Europe, qui s’est retrouvé sans activité, puis à devoir faire respecter le port du masque. Ce qui n’a pas de sens dans un Karaoké. Ces affaires sont en cours, mais ils nous mettent des bâtons dans les roues.


 
Par exemple: il s’agit donc d’une affaire dans laquelle on doit juger de la responsabilité de l’homme à la source de toutes les mesures prises, pas seulement les masques et la distanciation, mais le confinement. Et lorsque les trois juges arrivent, ils sont masqués. De plus, je n’ai pas pu plaider, car ils ont décidé que mon exemption médicale de port du masque ne valait rien. J’ai donc dû quitter la salle d’audience, après quoi ils ont déclaré un jugement par défaut, car l’une des parties – à savoir moi – ne pouvait pas être présente pour défendre son client.


 
Avez-vous toujours foi dans le système judiciaire?


 
Non.


 
C’est un peu ce qui me travaille: puisque les médias et les institutions vont dans le même sens. Est-ce que ça vaut vraiment la peine de continuer à intenter des actions?


 
Oui. Je n’ai plus confiance dans le système judiciaire allemand, mais j’en ai encore un peu dans le système américain, car la plupart des juges sont élus par le peuple, en particulier dans les Cours d’Etats. Quant aux juges fédéraux, ils ne sont pas élus mais n’en demeurent pas moins très indépendants. Contrairement aux juges allemands. Il y a, bien sûr, des exceptions à cette règle. Mais les juges qui tentent de faire appliquer la loi en Allemagne en prennent pour leur grade.

«Il n’y a plus d’indépendance du système judiciaire»


 
Par exemple: un juge de Weinmar a été approché par une mère de deux jeunes enfants qui lui a dit qu’ils étaient torturés à l’école, en raison des tests constants, du port du masque, de la distanciation sociale etc. Ces deux enfants avaient du mal à dormir, faisaient des cauchemars, avaient des maux de ventre et ne voulaient plus aller à l’école. Le juge a mandaté trois experts de renom spécialisés dans ces problématiques. Il en est ressorti que ces mesures n’avaient pas de validité légale puisque basées sur des tests fallacieux. Le juge les a donc déclarées illégales et anticonstitutionnelles et a demandé à l’école d’y mettre un terme. Deux ou trois semaines plus tard, son bureau, son domicile et sa voiture ont été fouillés, son téléphone et son ordinateur saisis.


 
Depuis, il a non seulement récupéré ses affaires, mais il est toujours en poste. Cependant, le message que cela envoie aux autres juges est assez clair. D’ailleurs, aucun autre n’a tenté quoi que ce soit depuis. Il n’y a donc plus d’indépendance du système judiciaire, à part dans quelques Etats américains et également, assez étonnamment, en Inde! Là où personne ne s’y attendait. Je crois même qu’ils viennent de déposer une plainte contre Bill Gates là-bas.


 
Les effets secondaires des vaccins qui sont rapportés constituent-ils une nouvelle opportunité d’attaque?


 
Oui. Par le biais de notre Corona Investigative Comittee, nous avons discuté avec l’inventeur de la technique à ARN messager, Robert Malone. Au début, il faisait attention de ne pas aller trop loin dans ses déclarations à ce sujet, mais il a fini par s’exprimer plus librement. On peut notamment voir des vidéos de lui sur internet, où il affirme que ce qui est fait avec ces prétendus vaccins qui n’en sont pas, est dangereux. Il affirme que nous avons franchi toutes les lignes rouges et violé toutes les règles d’éthique médicale. Que nous sommes en train de tuer des gens.


 
Bien sûr, les médias mainstream et les politiciens essaient de camoufler cela à la population et beaucoup de gens préfèrent continuer à ignorer les liens entre ces piqûres et les morts qui suivent. Mais c’est si flagrant, si massif, que les gens commencent à comprendre. Nous connaissons tous quelqu’un qui a souffert d’effets secondaires de la vaccination, mais avant qu’elle n’ait lieu, avons-nous tous connu quelqu’un qui a souffert du Covid? J’ai probablement contracté la maladie moi-même, mais j’ai survécu. Je n’ai pas eu de problème.


 
Est-ce que les assurances peuvent refuser de dédommager quelqu’un qui aurait des effets secondaires graves, parce que nous avons tous accepté de participer à une thérapie expérimentale?


 
Je crois, oui. Nous avons entendu parler de cas de ce genre. Cela ira sûrement très loin. Les compagnies d’assurance devront refuser les dédommagements et probablement refuser de souscrire des contrats avec des gens vaccinés. Il suffit de regarder les chiffres: les personnes vaccinées de moins de 60 ans meurent deux fois plus vite que les autres. En Israël et en Grande-Bretagne, 86% des personnes hospitalisées avec des symptômes Covid sont totalement vaccinées.


 
La charge virale de personnes vaccinées est 251 fois supérieure à celle des personnes guéries non-vaccinés, selon une récente étude conduite par un hôpital de Hô Chi Minh City au Vietnam, ainsi que dans une prison texane.


 
On aurait pu se dire que si les gouvernements n’avaient pas rendu la vaccination obligatoire c’était pour ne pas en assumer les conséquences en cas de problème. Pourtant, l’Autriche a sauté le pas. Que pensez-vous de ça?


 
C’est totalement illégal. Nous en parlions vendredi dernier, dans le cadre de notre Corona Investigative Comittee, avec Michael Brunner, un avocat très brillant qui sait de quoi il parle. Il m’a confirmé qu’il n’y avait aucune base légale pour ces mesures et encore moins pour la soi-disant vaccination. C’est une agression. Une attaque. Définie comme telle par le code de Nuremberg, qui stipule que n’importe quelle intervention médicale invasive est un crime à moins d’avoir le consentement du patient. Et pour que le patient puisse consentir, il faut qu’il soit pleinement informé. Il ou elle doit donc savoir qu’il ne s’agit pas de vaccin, mais de thérapie génique.


 
En fait, selon Alexandra Henrion-Caude, ce n’est même pas une thérapie génique, puisqu’on ne remplace pas un gène, mais on ajoute quelque chose. Sans même que l’on sache quoi! C’est donc une expérimentation. Ils doivent également savoir qu’aucune des phases de test en cours n’est terminée. Et enfin, qu’ils risquent des effets secondaires extrêmes. C’est uniquement après avoir été informé de tout cela que le patient peut donner son consentement éclairé.


 
Mais les gouvernements peuvent-ils être tenus pour responsables? Si un Autrichien contracte de graves effets secondaires, peut-il attaquer son pays pour l’avoir forcé à le faire?


 
On pense que oui. En particulier quand les faits démontrent que le gouvernement en question fait partie du complot. Car c’est bel et bien un complot contre la race humaine.


 
J’imagine que vous avez lu les contrats entre les entreprises pharmaceutiques et les Etats. Qu’en pensez-vous, en tant qu’avocat?


 
Deux membres du Parlement européen, l’un de Roumanie et l’autre de Croatie, nous ont montré les contrats qu’ils ont eu le droit de voir: ceux-ci étaient complètement caviardés. Mais nous savons ce que ces contrats contiennent parce qu’ils ont fuité sur internet et je crois que ce sont pratiquement les mêmes pour les quatre (Pfizer, Moderna, Astrazeneca, Johnson et Johnson, ndlr.) D’ailleurs, c’est l’Union européenne qui s’est chargée des contrats des pays membres. Pas lesdits pays pour eux-mêmes.


 
Dans ces contrats, il est clairement écrit que les fabricants ne savent pas si les vaccins sont efficaces, ni s’ils sont dangereux. Il est stipulé aussi que les acheteurs doivent aller au bout de la transaction même en cas de découverte d’un traitement, et enfin que ce sont les Etats membres qui devront assurer la défense des entreprises pharmaceutiques en cas de problème. Leur immunité est assurée.


(Re)lire notre article à ce propos: Les vaccins Covid ne sont pas sûrs, selon leurs fabricants


C’est totalement illégal. N’importe quel signataire d’un tel contrat est soit un idiot complet, soit un vendu. C’est tellement stupide! Le premier étudiant en droit qui passe comprendrait que ces contrats sont nuls et non avenus.


 
Y a-t-il encore des institutions dans lesquelles le citoyen peut avoir confiance, selon vous?


 
Oui, cela vaut la peine de déposer des dossiers dans certaines Cours de justice dans certains pays. Mais le plus important c’est d’informer les gens. Ils doivent savoir ce qui se passe vraiment. La plupart des dirigeants aujourd’hui sont diplômés du Young Global Leaders programme, du World Economic Forum. Merkel, Macron, Trudeau, Kunz, etc. Bien sûr que nous avons voté pour eux, parce qu’il n’y avait personne d’autre et que sur six marionnettes installées, on finit bien par voter pour l’une d’entre elles.


 
Ce qu’il y a de bien c’est que beaucoup de gens commencent à s’interroger, à poser des questions. C’est pourquoi je pense que c’est bientôt fini. Ce sera à nous, le peuple, d'inverser le courant. Nous devons prendre nos responsabilités. Nous ne pouvons pas attendre la cavalerie, puisque, cette fois-ci, nous sommes la cavalerie.


 
Qu’en est-il de la Suisse? Que penser de son système judiciaire?


 
Jusqu’ici je n’ai rien entendu de positif de la Cour de justice suisse. C’est probablement comme en Allemagne ou en Autriche: tout le monde a été mis au pas. Mais la roue va tourner.
 
Les Cours de justice ne sont jamais à la tête des développements sociopolitiques. Les changements doivent toujours venir du peuple. Ce n’est pas la justice qui a fait tomber le mur de Berlin, mais le peuple.


 
Comment faire?


 
Essayer de dénicher les informations fiables. Elles sont là, devant vous. Bien sûr, vous ne les trouverez pas dans les médias mainstream, encore moins relayées par le gouvernement. Qui n’est, au passage, pas votre gouvernement, mais le leur. Il y a beaucoup de sources disponibles. Le Corona Investigative Comittee en est une. Il y en a beaucoup d’autres. Beaucoup de médias indépendants qui essaient de faire jaillir la vérité et la vérité finit toujours par se savoir. Cette fois aussi.


 
Le peuple suisse a voté le 28 novembre en faveur de la loi Covid...


 
C’est ce qu’ils disent, je n’y crois pas. Il y aurait des preuves que les résultats ont été manipulés. Je ne crois rien que je ne peux pas vérifier. Et cette fois je n’y crois pas.


 
Ces résultats ne seraient pourtant pas très étonnants. Beaucoup de gens ont peur. En particulier maintenant qu’on est repartis pour un tour avec le variant Omicron.


 
C’est un autre canular. Je n’en reviens pas qu’ils pensent que nous ne sommes pas assez intelligents pour empoigner notre téléphone et appeler nos amis en Afrique du Sud. Nous avons appelé plusieurs personnes, dont l’un de nos collaborateurs, Dexter Reinfeld, qui vit sur place. Il nous a dit qu’il ne se passait rien du tout là-bas.


 
Pourquoi inventer un truc pareil? en quoi fermer les frontières réduit les risques pour la population?


 
L’idée est de poursuivre la même stratégie. De continuer avec la même intention.

    31932
    29